Ce qu’on ambitionne de indubitablement d’une voyance immédiate si tout se fait évasif. Il y a du temps où tout apparaît devenir non sûr. Les troubles se superposent, les fougues se contredisent, les repères s’effacent. Ce n’est pas une accident brutale, ni une hâte présent. C’est un glissement intérieur, lent, mais important. Ce que l’on ressent dans ces conditions n’est pas une méchanceté, mais une confusion. Une intuitions que les informations ont perdu leur départ. Et dans ce imprécis, il s'affiche presque impossible de prévoir le moindre pas sans vaciller. Ce n’est pas qu’on ne vise à pas méditer. Ce n’est pas qu’on ne cherche pas auquel concevoir. C’est que les efforts quotidiens ne amènent plus rien. On tourne en rondelette. On reformule cent fois la même sujet sans qu’aucune réponse ne s’impose. Et plus on insiste, plus l’épuisement s’installe. C’est fréquemment là que l’idée d’une voyance immédiate refait surface. Pas pour tout apprendre. Pas pour devenir rassuré lesquels tout tarif. Juste pour faire un paramètre. Un décision dans le mouvement imprécis. Une manière de poser une question dégagé, et d’entendre quelque chose d’extérieur qui vienne manier, reformuler, centrer.
Poser une question à l’instant où elle est vivante, c’est exceptionnel. Trop fréquemment, on attend. On organise. On tente d’expliquer. On pratique par la suite, à partir du instant ou l’élan est d’ailleurs passé, dans le cas ou la lucidité s’est diluée. La voyance immédiate, dans sa forme la plus dépouillée, rend ce moment possible. Celui où la note sort à l'instant où elle doit dégager. Sans filtre. Sans constitution. Juste là. Il ne s’agit pas d’un message bâclé. Il s’agit d’un acte mûr, longtemps retenu. Et lorsque il est enfin posé, ce que l’on attend, ce n’est pas une alternative explication en index. C’est une écoute sans ambiguité, une voix alignée, une lecture simple mais immédiate. Ce que propose Voyance Olivier, dans ces styles prompts à venir, ce n’est pas d’aller plus rapidement. C’est de réagir au bon moment. Et ce bon moment ne se choisit pas. Il ne se prévoit pas. Il s’impose de l’intérieur. Ce n’est pas la réalité qui se rend urgente. C’est la parole. Il est mieux de voir la dire. Il faudrait la avoir. Pas dans deux heures. Pas lorsqu'on aient été mieux. Maintenant, dans l’état solide où l’on est.
Ce qu’on aspire à, sans incomparablement le présenter, c’est pouvoir être rejoint. Non dans les détails. Dans la attitude intérieure. Dans le eu brut. On espère qu’un voyant, même en un peu, saura détecter ce qui est là. Non pas pour savoir. Pour nous manifester ce qui, en nous, attend d’être vu. On sait que la voyance immédiate ne réglera pas tout. Mais ce qu’on attend, c’est qu’elle fasse un voyance olivier doigt de place. Qu’elle desserre l’étau. Qu’elle redonne un peu d’air dans une opinion encombrée. Et quelquefois, c’est tout ce qu’il est préférable de lire. Ce qui à lieu ensuite n’est pas très spectaculaire. Mais des attributs a bougé. Une moule s’est déplacée. Une pressentiment s’est posée. Ce n’est pas réponse qui importe. C’est le acte qu’elle ait duré suivante. Que l’on ait pour finir pu tourner la question. Et que, dans ce fait, le nébuleux ait commencé lesquelles dissiper. La voyance immédiate est souvent perçue comme un raccourci. Mais pour celles qui y ont recours, c’est tout l’inverse. C’est un paramètre de recentrage. Un retour lesquelles main par le périphrase d’un autre. Un reflet extérieur qui permet de mieux englober ce qu’on portait en calme. Ce qu’on a envie de, au fond, n’est pas d’être soulagé. C’est de retrouver un peu de authenticité. Et cette clarté, lorsque elle provient, ne dure pas immensément de nombreuses années. Mais elle suffit. Elle suffit pour retrouver l’envie de poursuivre. De adopter. De se dire. D’agir. Et alors que tout se rend pas sûr, c’est déjà trop.
